14 juillet, fête antinationale
Cette date du 14 juillet, jour de l’annuelle et vulgaire sauterie républicaine, où les élites politiques du régime, traîtres et vendues, jouent à aimer notre drapeau et à admirer notre armée, est l’anniversaire de la défaite de la France, écrasée sous le joug de la République.
Dans ce XVIIIème siècle décadent, où l’aristocratie s’ennuie, se divertit et s’encanaille dans ses salons et ses boudoirs où l’on apostasie à qui mieux mieux, où la franc-maçonnerie à la mode est en train de réussir ce que les protestants ont raté deux siècles plus tôt, la Révolution contre l’ordre français et la religion catholique survient logiquement, et ce sont encore les enfants de cette Révolution qui gouvernent aujourd’hui le pays des Français.
La Révolution, cette révolte hideuse où les pires alcooliques, les pires débiles et les pires criminels sont agités par le camp de l’anti-France pour détruire et massacrer ce qu’il y a de beau dans notre race, est une plaie ouverte que tout Français droit et non-renié doit avoir à cœur de panser et de recoudre.
Je ne vais pas lister ici tous les outrages et tous les crimes de la Révolution, ce travail a déjà été fait dans toutes les largeurs par les historiens et écrivains de la cause française, je me contente de rappeler que le combat contre les idéaux de la Révolution et de la franc-maçonnerie est forcément un combat actuel et pertinent, puisque nous sommes aujourd’hui gouvernés par une élite politique imbibée et gavée de ces idéaux-là.
A bas le 14 juillet, et merde au régime !
C’est bien triste à dire, mais tout cela est vrai et pitoyablement réel.
Je dirai même qu’ajourd’hui le pire ennemi de la France c’est une grand partie de la France, à commencer par la potiche ridicule qui lui tient lieu de chef d’État : Macron.