Procès des lyncheurs de Philippe Monguillot : sans la peine de mort, les sauvages s’en sortiront forcément bien
« Le matin était heureux parce qu’il était encore là. On a bu le café dehors, on a préparé le repas puis il m’a dit « à ce soir mon amour ». Vers 18 heures 30, on s’envoyait des messages. Puis d’un coup, plus rien. »
Le procès du chauffeur de bus lynché à mort le 5 juillet 2020 à Bayonne s’ouvre aujourd’hui. Sa veuve, déjà atterrée par la requalification des faits en « violences ayant entrainé la mort sans intention de la donner », explique qu’il « n’existe pas de punition à la hauteur de ce qu’ils ont fait ».
En effet, ces gens n’encourent pas la seule peine qui garantisse à la société le zéro récidive : la peine de mort.
Pour protéger la société et les honnêtes citoyens, et pour châtier les sauvages capables de battre un individu à mort pour un simple désaccord, le Parti de la France réclame le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus odieux.