Eurovision : 10 ans après la femme à barbe, l’homme en mini-jupe
C’est donc, nous dit-on, « l’artiste non binaire » « Nemo » qui a remporté l’Eurovision 2024.
Pourquoi ajouter « non binaire » à sa description, aurait-on dit « l’artiste cisgenre hétérosexuel » dans le cas contraire ? Bien sûr que non. La volonté ici, est moins de parler de sa musique que de militer pour la dépravation, la décadence et la subversion.
Côté chanson, le jeune homme habillé en mini-jupe a interprété la chanson « The Code », une énième soupe sur le thème de la liberté de choix, cet histrion étant convaincu de briser les chaînes et les codes en s’habillant comme une femme. Bref, rien de neuf sous le soleil de Satan, une nouvelle platitude woko-progressiste, un nouvel Eurovision qui se sert de la musique comme prétexte pour déverser son dégueulis dans les foyers européens par le biais de l’infernal écran de télé. On se souvient qu’il y a exactement 10 ans, ce « concours » sacrait Conchita Wurst, un homme barbu déguisé en femme…
Protégez vos foyers, cramez vos télés !