Les covidistes rattrapés par leurs mensonges
Un article anti-chloroquine « rétracté » pour cause d’incohérences dans le choix des données, données de surcroît finalement jugées non fiables, et pour cause de postulat « incorrect » quant aux traitements réellement pris par les patients concernés.
Cette nouvelle affaire de mélange d’intox et de bagarre entre labos nous rappelle les heures les plus ubuesques de la « crise » du Covid-19.
Un vieil adage éculé mais pertinent dit que quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier. Même si elle met plus de temps, la vérité finit toujours par arriver. Et c’est ce qui arrive depuis de longs mois désormais, entre livres, études, interviews, etc. Les mensonges des thuriféraires de la piquouze et de la dictature sanitaires s’écroulent en bloc face à l’analyse froide des faits, même si certains lécheurs macronistes particulièrement zélés comme Libération continuent de qualifier de « covido-sceptiques » (!!!) des scientifiques et des statisticiens au travail remarquable et sourcé comme Pierre Chaillot par exemple.
Pourtant, jamais les travaux de ces « covido-sceptiques » ne font l’objet d’une rétractation comme l’article des scientifiques français anti-chloroquine qui prétendaient notamment que près de 20000 décès étaient liés à l’hydroxychloroquine (article Deaths induced by compassionate use of hydroxychloroquine during the first COVID-19 wave).
Voici quelques conseils de lecture pour vous vacciner contre la propagande covidiste et ses odieux relais qui tentent de vous tromper depuis les salles de rédactions de Libération jusqu’aux bureaux du CNRS.