Au-delà du negru
Il aura suffit qu’une vingtaine de privilégiés se mette à bouder dans un stade vide pour que ce que la France compte de pleurnichards antiracistes essaie de refourguer ses fables d’une société blanche raciste et anti-noire. Une société blanche qui devrait faire amende honorable et courber l’échine face aux stupides thuriféraires de la pleurniche éternelle du gentil homme noir persécuté par le méchant homme blanc.
Je ne reviendrai pas sur le fond de l’affaire, le milieu nationaliste a déjà fait toutes les bonnes analyses et notamment Thomas Joly dans sa dernière vidéo.
Ce qui m’intéresse, c’est de me pencher sur la mauvaise foi et le tas de mensonges sur lequel la propagande pro-noire anti-blanche s’appuie.
Tout d’abord la mauvaise foi, elle est criante dans le cas de cette faire entre l’arbitre Sebastian Coltescu et l’histrion islamiste Demba Ba, qui reprochait à ce dernier d’avoir traité Pierre Webo de négro. L’arbitre a seulement désigné dans sa langue roumaine Pierre Webo comme « un noir », « negru », ce qui est effectivement le cas. On a donc ici une histoire de racisme imaginaire monté de toutes pièces par un débile analphabète pour qui noir est une insulte : Demba Ba. Pourtant, sans parler du terme de négro qu’ils utilisent entre eux, les noirs s’appellent noirs et c’est bien normal, c’est par exemple le cas quand Thuram parle de ses « étoiles noires » ou quand les noirs américains appellent leur mouvement politique identitaire « black lives matter », littéralement : « les vies noires comptent ». Le problème n’est donc pas là.
Le fond du problème, c’est que les noirs militants politiques, c’est le cas de Demba Ba, sont tellement incapables de trouver du racisme dans les sociétés blanches qui ont fait d’eux des stars, qu’ils deviennent ivres d’hystérie quand ils croient en déceler, ce qui leur permet d’enfin laisser éclater leur haine des blancs basée sur des mensonges. Le cas de l’intervention stupide de Demba Ba et des autres joueurs de balle au pied a engendré un lynchage médiatique planétaire à l’encontre de Sebastian Coltescu, qui a été la victime de la gigantesque et fanatique meute politiquement correcte, condamné et socialement assassiné avant même qu’aucun magistrat n’ait pu se pencher sur un éventuel soupçon de racisme avéré. L’injustice de l’émotion a jugé et frappé.
Les mensonges sur lesquels la haine anti-blanche de ces noirs prospère sont martelés avec force par les historiens carriéristes et gauchistes, relayés par les professeurs qui tiennent à leur poste et les professeurs gauchistes. Il va par exemple s’agir de la légende de l’esclavage européen, alors que non seulement les Européens sont les derniers à être entrés dans ce commerce, mais en plus ce sont les premiers à l’avoir aboli ! Et les militants identitaires noirs qui font semblant de prendre les blancs comme l’alpha et l’oméga de l’esclavage font comme si les blancs n’avaient jamais été eux-mêmes des esclaves, alors que les récits historiques regorgent au contraire de cas de blancs, de Slaves, vendus par des juifs à des musulmans. On ne compte pas les exemples où l’Eglise s’est démenée pour racheter des esclaves chrétiens afin de leur rendre leur liberté.
Mais l’objet de cet article n’est pas de proclamer ouin ouin nous aussi on a souffert, nous aussi on est des victimes. Tous les peuples ont connu des hauts et des bas, et les peuples qui veulent aujourd’hui utiliser la pleurniche pour combattre les blancs doivent savoir qu’ils trouveront toujours les nationalistes sur leur route pour contrecarrer leurs mensonges, et que la vérité finit toujours par triompher.
Amis européens, formez-vous, informez-vous, brisez les chaînes du mensonge de l’histoire officielle et de l’Education nationale. Notre Seigneur nous l’a déjà dit : « la vérité vous rendra libres » ! Ne laissez rien passer à la bêtise crasse des militants antiracistes. Nous vaincrons !