De la chasse aux blancs
Ces dernières heures ont été marquées par des violences raciales commises aux Etats-Unis contre des blancs innocents, coupables d’être blancs.
Une fois de plus, la droite antiraciste, Robert Ménard en tête, tombe dans le piège de la justification du racisme des noirs envers les blancs, avec cette phrase absolument irresponsable, voire criminelle : « cela n’excuse pas les émeutes, mais cela explique la réaction brutale des gens ». En allant dans ce sens, toute « réaction brutale » contre les blancs peut être explicable, donc justifiable, donc, contrairement à ce qu’écrit Robert Ménard, excusable, si elle a un point de départ. Le problème, c’est que le point de départ peut être n’importe quoi, puisque la haine contre les blancs se justifie par tout et n’importe quoi, comme la colonisation, l’esclavage, l’impérialisme, des pseudo-discriminations, etc. Ce que Robert Ménard ne voit pas, c’est que la haine contre les blancs n’est pas une réaction épidermique mais une conséquence politique logique d’un militantisme anti-blanc pratiqué à tous les niveaux.
En effet, quand un blanc se fait massacrer par un arabe ou un noir, il n’y a pas d’émeutes de blancs, ni de chasse aux noirs ou aux arabes, car il y a une différence fondamentale : les noirs et les arabes sont, eux, constamment encouragés à détester les blancs, donc à s’en prendre aux blancs. Ce racisme systématique est, pour l’instant, implacable. Cela va du plus petit professeur qui enseigne à quel point l’homme blanc est un salopard de colonisateur, de croisé, d’esclavagiste, d’envahisseur, jusqu’à l’institut ou le think tank fournisseurs de cadres à la République qui se targuent de favoriser « la diversité » et « la parité », c’est-à-dire la lutte pour l’élimination politique de l’homme blanc, ce que l’ignoble mitterrandienne Anne Lauvergeon avait résumé par cette formule qui dit tout : « autre chose que le mâle blanc ».
Tout est fait, dans le monde occidental, pour que les non-blancs haïssent l’homme blanc. Cela passe par l’école, par la politique, par la littérature et par les médias, sans compter l’infernal tissu associatif, le tout étant chapeauté par la gauche traditionnelle devenue perméable à la gauche dite indigéniste et décoloniale, ce qui est d’ailleurs incongru puisque les indigènes et les colonisés, c’est nous ! Le problème est que face à cette hégémonie de la gauche hostile à l’Européen traditionnel, la droite se couche systématiquement, sauf pour dénoncer de temps en temps tel ou tel obscur rappeur qui a eu le tort d’assumer moins subtilement que ses maîtres des idées antiblanches.
La droite antiraciste, c’est-à-dire la droite qui pense avoir des gages à donner à la gauche, ne gagne rien d’autre que la décrédibilisation, à trouver des circonstances atténuantes aux noirs anti-blancs, car n’importe quel prétexte bidon, comme l’accident d’un demeuré sans casque à moto, est suffisant pour servir d’étincelle à la libération sauvage des pulsions antiblanches des populations qui nous sont hostiles.
Le rôle des hommes de droite, surtout des hommes ayant la visibilité médiatique d’un Robert Ménard, c’est de prendre acte de l’existence de toute cette sphère antiblanche, des cercles proches du pouvoir jusqu’à l’émeutier analphabète, et de proposer les mesures radicales mais nécessaires et justes qui s’imposent : dissolutions, expulsions, etc.
Si cette droite radicale n’est pas possible, c’est la guerre raciale qui le sera, et dans cette guerre, devinez qui seront les mieux armés ?
Pour éviter les larmes et le sang à notre peuple, il faut lui redonner toute sa place, car il est chez lui et il est normal qu’il soit maître chez lui. Tous ceux qui luttent contre les blancs en Occident doivent être traités comme des ennemis, et pour ceux qui sont chez nous, comme des envahisseurs.
Le temps des droites timorées doit prendre fin, que chacun se ressaisisse !