Comprendre l’imposture #BlackLivesMatter avec Amandine Gay
Amandine Gay, universitaire et conférencière, suivie par 25 000 personnes sur Twitter, est une activiste du mouvement #BlackLivesMatter. Elle est aussi la responsable du site internet « badassafrofem » sur lequel elle se définit comme une « angry black lady », c’est-à-dire une femme noire en colère. On imagine le tollé si nous créions un site des « hommes blancs en colère », l’horreur, quasiment le nazisme.
Donc cette activiste, en quoi nous donne-t-elle une bonne raison de mettre en lumière l’objectif réel (anti-blanc) du militantisme #BlackLivesMatter ? Tout simplement par sa réaction à la banderole déployée le week-end passé par Génération Identitaire contre le racisme anti-blanc. Cet énième avatar du progressisme racisé a déclaré, suite à la diffusion de la photo des jeunes blancs embarqués par la police : « On a (pas encore tous) les noms des identitaires et on a leurs photos. Peut-on savoir où ces personnes travaillent et étudient afin de lancer des pétitions et autres cercles d’appels pour demander leur renvoi ? ».
Le projet de pourrir la vie, d’essayer de faire perdre leurs emplois à des blancs qui se plaignent de racisme anti-blanc, venant de noirs qui se plaignent de racisme anti-noir, en dit long sur la vraie nature des militants de #BlackLivesMatter : comme d’habitude, leur antiracisme n’est qu’un nom de code pour anti-blanc !
Il est temps de siffler la fin de cette turbulente récréation : dissolution de toutes les officines anti-françaises et expulsion de tous les indésirables.
Foutons-les dehors !