Les anti-blancs sans masques

Ces derniers temps, par la grâce de Saint George Floyd (délinquant multirécidiviste) et de Saint Adama Traoré (délinquant multirécidiviste), la parole anti-blanche s’est encore un peu plus libérée, bien qu’elle jouissait déjà d’une spectaculaire impunité.

Ainsi, la réalisatrice Ava DuVernay, qui a le privilège insensé de pouvoir utiliser Netflix et Hollywood pour s’y plaindre de l’oppression blanche, a déclaré Nous, les producteurs noirs ayant un pouvoir d’embauche, nous avons le droit de ne pas embaucher ceux qui nous diminuent. Donc, pour les hommes blancs, si vous n’obtenez pas le poste que vous souhaitiez, rappelez-vous… les préjugés peuvent aller dans les deux sens.

Le contexte racial actuel est tellement biaisé, qu’une femme noire privilégiée qui jouit d’une belle carrière et de la reconnaissance de sa profession car elle vit dans une société qui s’interdit de discriminer les non-blancs, profite de notre tolérance pour nous expliquer qu’elle et d’autres décideurs noirs vont discriminer les blancs qui sont forcément, malgré les privilèges exorbitants qu’ils accordent aux noirs, des salopards anti-noirs. La vérité c’est que notre justice ne laisserait pas passer le centième de ce que disent les noirs sur les blancs si c’étaient des blancs qui les disaient sur des noirs.

Cette déclaration d’Ava DuVernay est une attaque en règle contre les blancs, complètement assumée. Cette riche femme noire privilégiée termine d’ailleurs sa tirade par un c’est l’année 2020 qui parle assez révélateur de la puissance du mouvement raciste anti-blanc qui traverse le monde blanc ces derniers temps.

Si “l’année 2020 qui parle” veut la discrimination des blancs sur leur propre terre, alors notre devoir est de lui faire fermer sa gueule, en ne concédant rien à nos ennemis et en militant sans relâche pour la cause identitaire, en se formant, en propageant nos idées, en réussissant nos vies et en peuplant la France d’enfants français.