Yannick Noah, antiraciste chez nous, identitaire chez lui !
Yannick Noah, l’ancien tennisman et militant antiraciste, vit désormais à Yaoundé sur la terre de ses ancêtres.
Celui qui militait en chansons contre les mauvais Français attachés à l’identité de leurs ancêtres (Ma colère n’est pas un front / Elle n’est pas nationale / Ma colère a peur aussi / C’est la peur, son ennemie / Ma colère n’est pas un front / Elle n’est pas nationale / Car ma colère a tout l’honneur de combattre la leur), annonce être heureux de vivre désormais sur la terre de ses ancêtres, et ajoute dans une interview récente donnée à Brut qu’il souhaite protéger sa terre qui est la terre de ses ancêtres.
Antiraciste chez nous, identitaire chez lui, Yannick Noah incarne à la perfection cette tare intellectuelle gauchiste qui consiste à reprocher aux Français leur attachement à leur identité, tout en promouvant les identités allogènes.
Que Yannick Noah soit fier et respectueux de son identité, c’est bien légitime. Mais qu’il ait refusé si longtemps cette fierté aux Français de souche en les traitant de haineux et d’intolérants, voilà ce qui constitue le pêché originel et éternel de l’antiracisme et de tous les antiracistes. Car cette petite anecdote, aussi futile puisse-t-elle être, confirme ce que nous dénonçons depuis des décennies : antiracisme est un nom de code pour anti-Blancs.