Inaction climatique
Ca a d’abord été la lubie d’un groupe de lobbyistes.
Ca a ensuite été un vernis et un excellent prétexte pour les thuriféraires d’une gouvernance mondiale.
Ca a enfin été une religion dont le gourou Greta Thunberg assure qu’en étant bien obéissants nous commanderons aux astres et à l’activité solaire.
Mais depuis cette rentrée, le reproche d’inaction climatique a pris une nouvelle tournure, il devient un élément de langage du quotidien, il vient tout imprégner.
La récente manifestation des communistes mélenchonistes contre la vie chère avait pour mots d’ordre la lutte pour le pouvoir d’achat et contre l’inaction climatique. L’intersyndicale ayant appelé à faire grève ce 27 octobre a, dans sa liste de revendications concrètes, ajouté le reproche d’inaction climatique.
Ce concept d’inaction climatique doit être combattu car il est le cheval de Troie des lobbyistes, des mondialistes et des thunbergistes fanatisés. De plus, se focaliser sur l’action climatique au nom de l’écologie est une sinistre farce politique, qui consiste à considérer le fait de taxer encore plus les entreprises et les particuliers et de saborder notre environnement à coups d’éoliennes comme plus important que la nécessaire lutte contre la pollution et la bétonisation de notre pays.
Se faire croire qu’on peut changer la météo à coups de taxes et d’augmentation du pouvoir de nos dirigeants, tout en ne disant rien sur le respect de la nature et de la nature humaine, voilà encore une belle escroquerie politique qui se glisse désormais jusqu’à la bouche du moindre délégué syndical de la plus quelconque entreprise, par le biais du fameux reproche d’inaction climatique qui draine avec lui tout le projet totalitaire que nous venons d’equisser.
Vigilance !