Le combat continue
Le 8 mai 1945, les partisans démocrates et communistes d’une Europe à genoux remportaient la victoire finale, dans leur croisade antifasciste, par la signature de la capitulation sans condition du chef d’état-major de la Wehrmacht, Alfred Jodl, lequel finira malgré tout condamné et pendu un an plus tard à la suite de la parodie de justice connue sous le nom de procès de Nuremberg.
Face aux antifascistes de tout poil, des communistes qui nous veulent prisonniers aux démocrates qui nous veulent esclaves, le combat des Européens libres, fiers et à la mémoire longue, continue sous d’autres formes comme la politique, la culture, l’entreprenariat, les foyers, les paroisses, etc.
Profitons de ce jour férié stalino-américain pour rendre hommage aux morts, aux héros et aux martyrs de l’idéal européen dont le jaillissement en pleine période de démocratie crasse et corrompue fut un miracle alors, et doit demeurer une espérance aujourd’hui.