Violence endémique dans les écoles, un problème insoluble ?

L’arbre des faits divers de ces derniers jours, qui cache la forêt de l’état de l’Ecole en particulier et de la société en général, est l’occasion pour le microcosme politico-médiatique de faire rejouer l’inaudible mélodie de la lutte contre les violences.

On nous parle en effet de “sanctuariser” l’Ecole, on nous sensibilise au désœuvrement des “jeunes”, on accuse l’ennui, les jeux-vidéo, la pauvreté, l’absence de repères, etc.

On nous présente tout cela comme une problématique complexe, ardue, voire insoluble. On nous fait croire qu’il faut que des experts se creusent la tête pendant des années pour parvenir à une solution. Tout cela est une grotesque pantomime.

En effet, la violence des derniers jours, comme la violence qui pourrit le pays tout au long de l’année, n’est due qu’à ce double impact fatal de l’idéologie gauchiste qui dirige le régime : la présence massive d’individus issus de l’immigration et l’impunité radicale dont ils bénéficient.

Inverser les flux migratoires, mettre en prison ou expulser les auteurs de délits et de crimes, voilà la solution simple pour régler ce problème simple. Ceux qui veulent vous faire croire que résoudre la violence à l’Ecole est un problème compliqué essaient simplement de vous embrouiller, car ils préfèrent mentir que de proposer une solution qui va contre leur idéologie profonde.