Propagande LGBT en L1 : Nabil, Mostafa et Mohamed résistent, où sont les footballeurs français ?

Comme nous le précisions déjà l’année passée, la « journée contre l’homophobie » imposée chaque année par la Fédération Français de Football (FFF) dont dépend la Ligue de Football Professionnel (LFP) qui gère, entre autres, la Ligue 1, est en fait une journée de propagande LGBT pure et dure.

Tout d’abord, comme nous le disions déjà à l’époque : c’est une arnaque de présenter cette opération de football arc-en-ciel comme une animation « contre l‘homophobie », car derrière ce que le lobby arc-en-ciel appelle « homophobie » se cache souvent une simple opposition aux idées politiques des militants LGBT. En effet, ce que peuvent subir certains homosexuels, comme du harcèlement ou de la violence, est déjà puni par la loi, que cela concerne des homos ou pas, et les homosexuels ne sont pas discriminés en France.

Ensuite, il est tout de même frappant qu’à chaque fois, les seuls résistants à cette opération d’agitation politique cachée sous un faux prétexte de lutte contre l’homophobie soient des joueurs d’origine afro-maghrébine.

Même si le monde du football est particulièrement touché par l’immigration – il n’y a qu’à voir la composition de la sélection nationale -, il y a quand même (encore) un bon nombre de Français de souche qui joue en Ligue 1 et qui pourrait, chaque année, également se distinguer par ce courage qu’ont eu, cette année par exemple, Nabil Bentaleb (LOSC), Mostafa Mohamed (FC Nantes) et Mohamed Camara (AS Monaco), tous les trois injustement poursuivis par l’illégitime association « Bleus et Fiers ».

Pour que les Blancs rompent avec cette mentalité de victime qui suinte de chaque fait divers, il faut aussi se muscler politiquement et intellectuellement. Il n’est pas normal d’avoir honte ou peur de s’opposer à une opération de propagande du lobby de la sodomie.

Lorsque nous serons au pouvoir, la propagande LGBT sera proscrite partout et il sera absolument normal et encouragé de manifester son opposition à la décadence, à la perversion et à la subversion.