Halloween, non merci

En ce 31 octobre nous allons de nouveau avoir droit à la promo d’Halloween, cette parodie de la fête des morts du 2 novembre où les catholiques du monde entier commémorent les fidèles défunts, en prière dans la dignité et non en sucreries dans des déguisements grotesques.

Mais avant la fête des morts le 2 novembre, il y aura le 1er novembre la Toussaint, la fête de tous les saints du Ciel vers lesquels les catholiques vont tourner leurs âmes, pour y chercher des exemples édifiants pour la conduite d’une belle vie chrétienne, et non les délires sanguinolents de vils marchands de camelote qui ne pensent au Christ que lorsqu’il s’agit de le moquer.

La Toussaint, la fête des morts, l’Avent, Noël, l’Epiphanie, le Carême, Pâques, la Pentecôte, etc., à chaque fois que vous suivez le calendrier catholique vous faites du bien à votre âme et, cerise sur le gâteau, vous perpétuez un peu plus cette France éternelle et ses belles valeurs chrétiennes, que le milieu aime parfois mieux pleurer que faire vivre au quotidien.

En parlant de milieu, petit message à ceux qui prétendraient que Halloween, sous ce nom ou d’autres, serait une fête légitime car de longue tradition païenne, souvenez-vous que la plus grande tradition de “nos ancêtres les païens”, c’est de s’être convertis au christianisme. C’est tout ce que je souhaite à mes compatriotes, à qui je souhaite également, en ce 31 octobre, une bonne saint Quentin !

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Saint Quentin fut décapité par le préfet romain Rictiovarus pour avoir évangélisé les Gaulois du Beauvaisis et de la Picardie. Augusta Viromanduorum, la ville du lieu de son exécution le 31 octobre 287, devint par la suite et jusqu’à nos jours la ville de Saint-Quentin, dans l’Aisne.

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