Mark Zuckerberg fait vriller les fact-checkers
Dans une vidéo publiée récemment sur ses comptes, le patron de Meta (Facebook, instagram, etc.) Mark Zuckerberg a déclaré vouloir « revenir aux racines autour de la liberté d’expression ». Les journalistes déplorent un « virage à 180 degrés », c’est-à-dire qu’ils se plaignent du retour de la libre parole sur les réseaux sociaux, ce qui en dit long sur la mentalité de cette caste.
Dans sa vidéo, Mark Zuckerberg déplore quant à lui le fait que de plus en plus de Gouvernements et de médias demandent à Meta de censurer des publications et des comptes, et indique que « tout cela est clairement politique » et pas du tout lié au fact-checking.
« RESTORING FREE EXPRESSION ON OUR PLATEFORMS »
Cette phrase est la plus importante de la vidéo de l’Américain, et celle qui fait le plus vriller les médias et les politiciens qui ne maintiennent leur leadership qu’en envoyant leurs contradicteurs devant un juge ou dans les méandres de la censure des réseaux sociaux. Ces gens : médias, fact-checkers, politicards, militants communistes, etc., sont sûrs de perdre leur pouvoir si l’opinion publique et les électeurs ont accès à égalité aux contenus de gauche et aux contenus authentiquement de droite.
Je l’avais dit dans un précédent article, Le grand méchant Musk, mais la liberté d’expression pour la gauche c’est quand la gauche a le droit de parler, et le fascisme pour la gauche c’est quand la gauche et la droite ont le droit de parler. Et c’est exactement ce que montre, après leur descente d’organes devant Musk, leur nouvelle descente d’organes devant ce refus de la censure annoncé par Zuckerberg. Ces gens sont littéralement effrayés par le fait que leurs adversaires politiques aient autant le droit de parler qu’eux (ce qui est faux d’ailleurs quand on voit les contenus financés par le CNC et les créateurs poussés par Youtube par exemple, sans compter les lois restrictives en vigueur dans notre pays sur plein de sujets comme l’immigration, le lobby LGBT, etc.).
Autre point qui ne fait pas vraiment fureur auprès de la caste médiatico-politique, c’est l’annonce du remplacement des fact-checkers par des « notes de la communauté », c’est-à-dire qu’au lieu de payer des employés de journaux français déjà subventionnés (d’ailleurs le « journaliste » de France « info » Julien Pain s’est ému de la fin probable de ce financement dans une caricature de descente d’organes gauchiste sur son compte Twitter), Mark Zuckerberg laissera la main aux internautes pour éventuellement commenter telle ou telle déclaration contraire aux faits. Même si ce procédé reste discutable en soi, il correspond beaucoup plus à la démocratie à laquelle les gauchistes tentent de faire croire qu’ils tiennent, que le système des fact-checkers subventionnés qui ressemblent plus à une armée de mercenaires numériques qu’à des chantres de la liberté d’expression, comme on a pu le voir. L’américain annonce même que ses « fact-checkers » aux USA ont plus nui à la vérité qu’ils l’ont servie, on comprend que le réveil soit brutal pour tous les Julien Pain d’Occident !
Enfin, en disant que ces attaques contre la vérité ont notamment biaisé les débats sur l’immigration ou « le genre », le patron de Meta porte le coup de grâce à la gauche et son extrême qui n’ont jusqu’ici comme armes que l’anathème et la censure contre les citoyens qui s’opposent aux vues dites « progressistes » sur ces questions. « Cette politique a réduit des gens et des opinions au silence, c’est allé trop loin » ajoute Mark Zuckerberg, conscient de la dérive tyrannique perpétrée sur ses réseaux au nom de la « tolérance », ironiquement.
Bien sûr, seuls les faits comptent et nous ne sabrons pas le champagne sur une simple déclaration d’intentions, mais force est de constater que c’est la victoire du tandem conservateur Trump-Musk aux élections qui a permis ce changement de ligne, confirmant que c’est bien l’engagement politique pur et dur qui fait bouger les choses.
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Beaucoup d’autres sujets sont abordés par le patron de Meta, dont son effarement face à la censure qui sévit en Europe, je vous laisse voir ça dans cette vidéo :